Etudiants

La Coopération au Développement : Quelles opportunités pour les étudiants ?

 

L’ARES ouvre une multitude d’opportunités pour travailler dans la Coopération au Développement, que ce soit pour les étudiants mais également pour le personnel des institutions d’enseignement supérieur.

Le rayonnement de ces projets touche actuellement 18 pays à travers le monde qui sont partenaires de la Belgique et peuvent ouvrir à des financements :

  • Cuba, Haïti
  • Bolivie, Equateur, Pérou
  • Bénin, Burkina – Faso, Burundi, Cameroun, Madagascar, Maroc, Niger, RDC, Rwanda et Sénégal
  • Cambodge, Philippines et Vietnam

 

Les étudiants peuvent postuler individuellement afin d’obtenir un soutien financier (remboursement du titre de transport) de l’ARES via le responsable des Relations internationales de leur institution (international@helb-prigogine.be) pour effectuer un stage dans l’un de ces pays pour une durée minimale d’1 mois (30 jours) via l’instrument

Une autre belle opportunité, dans le cas où vous êtes intéressé(e) par les Relations Nord – Sud et le travail en équipe (un groupe d’étudiants Nord avec un groupe d’étudiants Sud sous la supervision d’un académique pour chaque institution)

Vous souhaitez contribuer à la sensibilisation des étudiant·es des Hautes écoles et Ecoles supérieures des Arts de la Fédération Wallonie-Bruxelles aux enjeux et problématiques du développement par la réalisation d’activités dont le centre de gravité se situe sur leurs campus ?

Contactez – nous au préalable (international@helb-prigogine.be)

 

Afin de prendre connaissance des projets concrets ayant eu lieu parmi nos 18 pays partenaires, nous vous invitons à consulter le blog réalisé par nos collègues de l’ARES : https://moove.ares-ac.be/

Enseignants

  1. Projet EVATI (2021 – 25) soutenu par Wallonie Bruxelles International

Projet 3.2 : « Enfance et Vulnérabilités sociales : un Appui Transversal et Interdisciplinaire à Dakar, Thiès et Mbour (EVATI)
Partenaires impliqués :
• En Wallonie-Bruxelles :
  • HELB-IP, Haute Ecole Libre de Bruxelles – Ilya Prigogine
  • SimLabS, Laboratoire d’apprentissage des métiers de la santé par la simulation
  • ULB-Cooperation, ONG universitaire de l’ULB
  • Institut Libre de Bruxelles – Ilya Prigogine (IIP) – partenaire associé
• Au Sénégal :
  • ENDSS, Ecole Nationale de Développement Sanitaire et Social
  •  ISS-MBOUR, Institut Supérieur de Santé à Mbour
  •  GRAIM-SERFA, Service d’Education, de Rééducation, de Formation, d’Appareillages pour enfants atteints de paralysie cérébrale
 Objectifs généraux :
Les objectifs généraux du projet sont de renforcer les capacités du personnel soignant leur permettant d’accompagner les naissances tout en détectant de manière précoce certains risques et handicaps pour les nouveau-nés ainsi que de renforcer l’accompagnement des enfants en situation de handicap et de leurs familles.
Au-delà de cette démarche de santé publique, il s’agit d’améliorer la formation professionnelle dans ce secteur. En cela, le projet contribue aux ODD suivants :
 • Objectif 3 : Permettre à tous de vivre en bonne santé et promouvoir le bien-être de tous à tout âge
      • 3.1 D’ici à 2030, faire passer le taux mondial de mortalité maternelle au-dessous de 70 pour 100.000 naissances vivantes.
      • 3.2 D’ici à 2030, éliminer les décès évitables de nouveau-nés et d’enfants de moins de 5 ans, tous les pays devant chercher à ramener la mortalité néonatale à 12 pour 1 000 naissances vivantes au plus et la mortalité des enfants de moins de 5 ans à 25 pour 1 000 naissances  vivantes au plus.
      • 3.4 D’ici à 2030, réduire d’un tiers, par la prévention et le traitement, le taux de mortalité                           prématurée due à des maladies non transmissibles et promouvoir la santé mentale et le bien-être
  • Objectif 4 : Assurer l’accès de tous à une éducation de qualité, sur un pied d’égalité, et promouvoir les possibilités d’apprentissage tout au long de la vie
    • 4.2 D’ici à 2030, faire en sorte que toutes les filles et tous les garçons aient accès à des activités de développement et de soins de la petite enfance et à une éducation préscolaire de qualité qui les préparent à suivre un enseignement primaire Contribuer à l’amélioration de la prise en charge du nouveau – né à la naissance, limiter les déficiences et/ou handicaps d’origine périnatale (Axe1) ; et à la formation du personnel.
     • 4.5 D’ici à 2030, éliminer les inégalités entre les sexes dans le domaine de l’éducation et assurer l’égalité d’accès des personnes vulnérables, y compris les personnes handicapées, les autochtones et les enfants en situation vulnérable, à tous les niveaux d’enseignement et de formation professionnelle.
    • 4.6 D’ici à 2030, accroître considérablement le nombre d’enseignants qualifiés, notamment au moyen de la coopération internationale pour la formation d’enseignants dans les pays en développement, surtout dans les pays les moins avancés et les petits États insulaires en développement.
  • Objectif 10 : Réduire les inégalités dans les pays et d’un pays à l’autre
    • 10.2 D’ici à 2030, autonomiser toutes les personnes et favoriser leur intégration sociale, économique et politique, indépendamment de leur âge, de leur sexe, de leur handicap, de leur race, de leur appartenance ethnique, de leurs origines, de leur religion ou de leur statut économique ou autre
Résumé opérationnel
Dans un premier temps, à travers la formation du personnel de santé à la réanimation du nouveau-né par la simulation, différents niveaux seront atteints :
✓ Formation de formateur en simulation
✓ Formation initiale à la réanimation par la simulation
✓ Formation continue à la réanimation par la simulation
Ensuite, la mise en place d’un curriculum de formation spécialisé en réadaptation fonctionnelle de l’enfant en situation de handicap sensori-moteur par le biais d’un contenu de formation qui se veut innovant via l’implémentation de plusieurs modules basés sur un modèle pédagogique « hybride » :
– Explications théoriques/Entraînements pratiques entre étudiants/ Entraînements pratiques cliniques sur le terrain ; Suivis à distance
– Présentiel/Distanciel au moyen de nouvelles technologies.
L’objectif via ce travail en deux axes est de contribuer – de manière durable et adaptée aux besoins exprimés par le terrain – à une meilleure prise en compte des enfants « vulnérables » au Sénégal.
  1. 2. Renforcement capacités ARES
Via des bourses pour les professionnel.le.s issu.e.s du Sud global, la HELB peut également soutenir – sur base d’un projet précis appelé « projet d’accueil » – des diplômé.e.s du Sud à venir entre 1 et 6 mois à Bruxelles au sein ou via la Haute Ecole afin de se former aux réalités du terrain en assistant à des cours et en effectuant un stage en lien avec une thématique spécifique ou dans le cadre d’une formation.
Ex.: Entre septembre 2024 et janvier 2025, nous avons accueilli deux diplômé.e.s danseurs / chorégraphes du Laboratoire Ankata – Ecole privée de danse basée à Bobo Dioulasso (Burkina Faso) – à intégrer notre Bachelier de spécialisation en Art – Thérapie.
Il s’agit d’une vitrine exceptionnelle pour notre institution afin d’attirer des « professionnel.le.s du Sud global » à acquérir des compétences et développer les réseaux au Sud.
Voir le lien ci – dessous pour plus d’informations :
  1. 3. Instrument « Bourse de voyage ARES »
L’ARES permet aux étudiant.e.s de réaliser un stage – en lien ou non avec leur TFE – pour une durée minimale de 30 jours dans un des 31 pays partenaires de la Belgique via deux appels par an.
Le soutien financier consiste en un forfait défini selon le pays et peut s’y ajouter un montant plafonné à 330€ par mois si l’étudiant est boursier / allocataire reconnu par la Fédération Wallonie – Bruxelles.
L’étudiant.e candidat.e doit s’inscrire et constituer un dossier via la base de données GIRAF gérée par l’ARES. Une personne de contact par établissement d’enseignement supérieur peut y donner accès : pour la HELB, il s’agit de Michael Robert. Contact : michael.robert@helb-prigogine.be
Les étudiant.e.s sont accompagné.e.s dans le processus de recherche du stage afin de connaître une expérience « transformante » sous tous les aspects.
Le lien vers la procédure se trouve ci – dessous :

Projet Synergie (SIMNEONAT) – ARES

Avec l’appui de l’ARES et la collaboration rapprochée du SIM Labs, ce projet SYNERGIE (coopération entre institutions d’enseignement et associatives dans un pays Nord, la Belgique ici, ainsi qu’un pays du Sud – le Sénégal en l’occurrence) a consisté en une collaboration multilatérale à visée de santé communautaire autour de la thématique de la simulation néonatale.

L’Institut Supérieur de la Santé de Mbour (ISS) et notre Haute Ecole mais également le Centre de Santé du district de Mbour ainsi qu’ULB Coopération – comme partenaires dits associatifs – sont les quatre partenaires sénégalais et belges qui ont pu mêler leurs ressources humaines et matérielles afin d’échanger sur la simulation néonatale et les techniques pédagogiques qui y sont liées.

A travers un court séjour à Bruxelles, les collègues sénégalaises (Mme Diouf pour l’ISS et Mme Diop pour le Centre de santé) ont pu se former au sein de la HELB, de l’hôpital Erasme ainsi qu’au Sim Labs et échanger sur les représentations liées à la naissance, comme à former à la pédagogie à la simulation.

Dans la suite, deux collègues belges (Mme Romanus et Mme Jacquet) ont pu se rendre à Mbour dans un second temps afin d’apporter du matériel adapté – de basse qualité mais effectivement utilisable (mannequins de réanimation pédiatrique et poitrines de simulation) – aux conditions de pratique à Mbour aux deux partenaires sénégalais en développant des actions de formation initiale au sein de l’ISS (étudiantes sage – femmes) mais également de formation continue au Centre de Santé (professionnelles). Nos collègues belges ont pu également rejoindre Mme Berthelier (ULB Cooperation) à Mbour et la rencontre entre tous les partenaires a abouti en des échanges riches et mis en place des ponts quant à la durabilité de l’impact du présent projet.

Mission de formation à la simulation néonatale SUD – NORD (14 – 18/10/19)

Note d’entrée : L’accueil de Mme Diouf (enseignante à l’ISS de Mbour) et de Mme Diop (sage – femme au Centre sanitaire du district de Mbour) a été complété par celui d’Elodie Riziki Mirimo, infirmière à l’hôpital de Goma (RDC), destinée à travailler dans le futur centre de simulation dans la Région de Goma.

Cette dernière collègue a été invitée par notre partenaire ULB Coopération et nous avons accepté son intégration dans l’équipe de par sa complémentarité avec les collègues sénégalaises du projet.

Tous les frais inhérents à sa présence ont été assumés par ULB Coopération en dehors du présent projet.

Le délai entre la confirmation des participantes et le déroulement de cette semaine a été court, je souhaite remercier ici Mme Aubry pour son relais précieux afin que les collègues sénégalaises obtiennent leurs documents pour venir en Belgique.

Lundi 14 octobre

10h – 12h : Accueil des participantes et échanges autour du programme de la semaine ainsi que travail sur les représentations, les attentes de chacune (Isabelle Depreter et Floriane Lefèbvre, enseignantes sage – femmes et coordinatrices pédagogique / simulation)

13h – 15h : Apprentissage par la simulation : cadres pédagogiques sous-jacents et structure d’une séance de simulation (Catherine Romanus, conseillère pédagogique départements Santé et Social)

Mardi 15 octobre

10h30 à 12h30 : Apprentissage par la simulation : focus sur le pré-briefing, briefing et scénario (Catherine Romanus)

13h30 – 14h : Présentation et visite du SIMLABS (étudiant, centre de simulation ULB – HELB)

14 – 17h : Travail au SIMLABS autour de la réanimation néonatale avec des étudiantes de spécialisation infirmière en Pédiatrie néonatologie / Pré – briefing, briefing et scénario en pratique / Echanges et discussion avec les étudiantes (encadrement Marielle Robert et Marie Jacquet, respectivement coordinatrice et enseignante de la spécialisation)

Mercredi 16 octobre

9h30-12h30 : Apprentissage par la simulation en santé (Catherine Romanus) : retour sur la mise en pratique de la veille + focus sur le débriefing

Jeudi 17 octobre

13h30 – 15h30 : Travail autour de l’accueil des nouveaux – nés et du peau à peau à la maison de naissance du Cocon (Hôpital Erasme)

Séance d’informations, visite du service et échanges avec les collègues (équipe de Mme M. Warnimont) sur les pratiques (complémentarité avec la séance d’ouverture sur les échanges de représentations le lundi matin)

Références en lien avec le métier de sage – femme et la réalité africaine transmises à cette occasion :

https://www.unfpa.org/fr/publications/l%C3%A9tat-de-la-pratique-de-sage-femme-dans-le-monde-2014

https://www.who.int/hrh/nursing_midwifery/lancet_sages-femmes/fr/

15h45 – 16h30 : Débriefing de la semaine avec les trois participantes, les collègues sage – femmes (I. Depreter, F. Lefebvre et Martine Volon, coordinatrice de la formation) ainsi que la Directrice du Département Santé (Annick Vandeuren) et M. Robert (responsable RI)

Vendredi 18 octobre

Entre 10 et 12h : départs successifs des collègues

Note intermédiaire : Le bilan est largement positif selon les participantes, elles ont apprécié le programme qui leur a permis à la fois d’étudier les dimensions théoriques de la simulation néonatale mais également de l’apprécier dans son aspect pratique.

Les échanges initiaux sur les représentations liées aux pratiques de l’accouchement (notamment) ont été confrontés à la pratique hospitalière adaptée observée au Cocon (hôpital Erasme) et les échanges n’en ont été que plus fructueux.

La présence complémentaire d’E. Mirimo s’est confirmée et les échanges ont été d’autant plus riches.

Pour précision, les collègues africaines ont préféré manger entre elles les soirées malgré nos propositions

Par ailleurs, solliciter les collègues locales n’a pas été tâche facile dans le cadre d’un accueil sur quelques jours (la réalité d’un projet Synergie est nouveau pour nous) mais les échanges qui en ont émergé ont réussi à mettre tout le monde d’accord sur l’intérêt de collaborer ponctuellement avec des collègues étrangères…D’autant plus que les collègues sage – femmes se sont, par la suite, chacune désistées pour réaliser le second volet de la formation (initialement prévue pour décembre 2019 à Mbour).

C’est donc Marie Jacquet, infirmière pédiatrique et responsable de la simulation dans sa section, qui a été sélectionnée pour accompagner Catherine Romanus au Sénégal à la fin janvier 2020 a priori.

Mission de formation à la simulation néonatale NORD – SUD (20 – 23/01/20)

Le second volet du projet Synergie consistait, pour nos collègues Catherine Romanus et Marie Jacquet, à former des enseignant(e)s et/ou formateurs(trices), ainsi qu’un groupe d’étudiantes, à la pédagogie appliquée à la simulation néonatale à travers une séance de « réanimation à la naissance » dans l’Ecole privée (ISS Mbour) et le Centre sanitaire public.

La complémentarité entre les profils de nos deux collègues a constitué un plus, C. Romanus disposant d’une expérience significative dans la pédagogie appliquée à la simulation alors que M. Jacquet, en tant qu’infirmière pédiatrique, a une grande connaissance de terrain en Belgique et à l’étranger.

L’intervention s’est déroulée comme suit du lundi 20 janvier au jeudi 23 janvier pour les deux institutions visées :

Lundi 20 janvier (ISS Mbour)

  • 9h – 10h : Visite de l’établissement afin de nous approprier la réalité et ajuster au mieux la formation et rencontre des autorités (Mme Ba, Mr Lo)
  • 10h – 10h30 : Visite du local dans lequel se déroulera la simulation et aussi nous rendre compte du matériel à disposition
  • 10h30 : Rencontre avec les participant(e)s afin de présenter en quelques mots la journée du 22/01
  • 11h – 14h : Formation théorique auprès des enseignants à la simulation « réanimation à la naissance »

Mardi 21 janvier

  • 10 – 17h : Prospection et visites de partenaires
    • Le service de kiné de l’hôpital de M’Bour (contact pris)
    • Le service de maternité de l’hôpital de M’Bour (contact pris)
    • Le centre d’appareillage et de rééducation fonctionnelle pour enfants et adolescents de M’Bour – CARFEAH (visite du centre et contact pris avec le responsable du centre)
    • Le centre d’insertion socio-professionnel pour handicapés de M’Bour (visite et contact pris avec le responsable, président de l’association des handicapés du département de MBour et membre de l’association nationale des handicapés du Sénégal) (visite du centre et contact pris)
  • 18 – 21h : Rencontre avec Julie Berthelier (ULB Coopération) / Pistes de collaboration entre la HELB et ULB Coopération
    • Offre de la formation continue au Sénégal
    • Intérêt de la formation médicale par simulation
    • Echanges possibles entre le centre de simulation de Dakar et d’autres centres

Mercredi 22 janvier (ISS Mbour)

10 – 12h : Don du matériel

  • Présentation du matériel (1 Resusci Baby – basse fidélité et 1 MamaNatalie version noire)
  • Démonstration du bassin obstétrical et du mannequin bébé
  • Installation du matériel pour la mise en situation de l’après-midi

12h-14h : Repas entre partenaires (v. annexe LOC 13 pour liste des participants)

14 – 16h : Formation pratique à la simulation « réanimation à la naissance » avec le groupe d’étudiantes sages-femmes :

  • Séance de simulation avec les étudiantes sage – femmes (M. Jacquet)
  • Encadrement des enseignants (C. Romanus)

Jeudi 23 janvier (Centre de santé du district de Mbour)

  • 10 – 15h : Rencontre de partenaires
    • responsable des kinésithérapeutes de l’hôpital de M’Bour
    • responsable des sages-femmes du service de maternité du même hôpital
    • pédiatre du service de pédiatrie du même hôpital
    • médecin responsable du centre de rééducation de Mbour et la kiné qui y travaille
  • 16h – 16h30 : Visite de l’établissement / des lieux de travailainsi que du local dans lequel se déroulera la simulation pour se rendre compte du matériel à disposition (tables, chaises,…) + don du matériel (1 Resusci Baby – basse fidélité et 1 MamaNatalie version noire), explication et démonstration, mise en place pour la session pratique
  • 16h30 – 18h : Formations théoriqueet pratique à la simulation et échanges de bonnes pratiques

Les moments de formation autour de la simulation néonatale animés par les collègues de la HELB à Mbour ont fait l’objet d’une organisation aboutie auprès du partenaire de l’ISS de Mbour (Ecole privée), le soutien des Directions (Mme Ba et Mr Lo), de la collègue de contact (Mme Diouf) ainsi que de l’enthousiasme des étudiant(e)s.

Les échanges entre les collègues ont été constructifs et pérennes, de notre point de vue.

Le don de matériel adapté a également permis de joindre la parole à l’acte et mettre en pratique les apprentissages « in situ ».

L’organisation des échanges avec le Centre sanitaire de Mbour a posé davantage de problème dans la mesure où notre personne de contact (Mme Aminata Diop) est passée à la retraite à la fin de l’année 2019…Même si elle est restée disponible lors du séjour de formation Nord – Sud (fin janvier 2020), la dynamique n’est pas la même.

De plus, la Directrice du Centre (Mme Sarr Fall), en tant que Médecin, est souvent amenée à travailler à l’extérieur de la structure et avec un emploi du temps variable.

Ces deux facteurs ont rendu compliquée l’organisation d’un temps d’échange mais cela a été confirmé et planifié au mieux avec les collègues du Centre sanitaire public (pour rappel) le jeudi 23 janvier après – midi sur une période plus limitée.

Les perspectives de collaboration dans un futur proche restent d’actualité entre les partenaires – en ce compris entre les partenaires du Sud, plus – value claire du projet – en fonction du développement d’un autre projet Synergie avec l’ISS Mbour, mené par nos collègues de Vinci.

Revenons un instant sur les facteurs de succès du projet :

  • Le dynamisme du partenaire scolaire sénégalais (ISS Mbour), déjà impliqué dans d’autres projets similaires ainsi que le sens de l’accueil des partenaires sénégalais : l’ouverture réciproque a permis de fixer les objectifs assez rapidement
  • Le soutien fondamental des directions respectives (institutionnelle et départementale) : permettant ainsi d’avoir fait preuve de résilience lorsque nous avons sollicité d’autres collègues pour mener à bien le second volet de la mission. A partager !
  • Le rôle de guide d’ULB Cooperation : sans solliciter de financement, les collègues ont partagé leurs bonnes pratiques en matière de coopération avec des partenaires Sud. A partager !
  • Efficacité du duo belge « improvisé » au Sénégal (motivations et souhait de contribuer constructivement aux conditions de travail chez les partenaires Sud) : la complémentarité des profils a sans doute contribué efficacement à l’accomplissement de la mission de formation des formateurs